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Choc émotionnel après décès : symptômes, étapes du deuil et aides possibles

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Le décès d’un proche provoque souvent un véritable choc émotionnel, un bouleversement si profond qu’il semble parfois impossible à apaiser. Vous ressentez une douleur qui prend toute la place, une fatigue intense, ou encore un sentiment de vide ? Ces réactions sont normales : le deuil est une épreuve humaine qui traverse à la fois le corps, le cœur et l’esprit.

Mais comment surmonter ce choc émotionnel après un décès ? Comment traverser ces étapes sans se perdre ? Et surtout, comment s’aider — ou se faire aider — quand la souffrance devient trop lourde ?

Dans cet article, vous découvrirez :

  • les symptômes d’un choc émotionnel après un décès,
  • les phases du deuil et ce qu’elles signifient,
  • la différence entre un deuil naturel et un deuil pathologique,
  • et comment des approches douces comme la kinésiologie et PSYCH-K® peuvent aider à retrouver apaisement et sens.

Le choc émotionnel après un décès : une réaction naturelle

Quand le corps et le cœur se figent

Perdre un être cher crée souvent un état de sidération. Le cerveau n’arrive pas à accepter ce qui vient de se passer.
Ce choc émotionnel peut se manifester par :

  • des troubles du sommeil ou de l’appétit,
  • une sensation d’irréalité, comme si “tout était flou”,
  • une grande fatigue,
  • des difficultés à se concentrer,
  • ou encore des tensions physiques (poitrine serrée, gorge nouée, ventre contracté).

Ce sont des réponses normales du système nerveux, qui tente de protéger le corps de la douleur psychique.

Les symptômes d’un choc émotionnel après décès

Les symptômes varient selon les personnes, mais on retrouve souvent :

  • une alternance entre moments d’abattement et périodes d’agitation,
  • un sentiment de culpabilité ou d’impuissance,
  • une hypersensibilité émotionnelle, parfois même une anesthésie affective temporaire,
  • des troubles digestifs ou cardiaques liés au stress.

Ces manifestations ne signifient pas que “vous allez mal” : elles traduisent un organisme en train de s’ajuster à une perte immense.

Quand on n’arrive plus à arrêter de pleurer : un signal du corps

Lors d’un deuil, il arrive que les larmes semblent ne jamais vouloir s’arrêter. Vous pleurez souvent, longtemps, parfois sans comprendre pourquoi — et cela peut vous épuiser.

Ces pleurs intenses ne sont pas un signe de faiblesse. Ils traduisent une libération émotionnelle profonde. Le corps cherche à se réguler après le choc : il évacue la tension accumulée, les hormones du stress, et tout ce qu’il n’a pas pu exprimer autrement.

Il arrive aussi que les larmes surgissent sans prévenir, à tout moment de la journée. Un souvenir, une musique, une odeur ou une simple pensée peuvent déclencher une vague de tristesse incontrôlable. Ce phénomène est naturel : il montre que le processus de deuil est encore en mouvement, que les émotions continuent de se libérer petit à petit.

Les larmes sont une forme naturelle d’autorégulation du système nerveux. Elles permettent au corps de relâcher ce qui est trop lourd à porter, comme une soupape de sécurité.

Cependant, lorsque ces pleurs deviennent incessants, qu’ils reviennent chaque jour sans apaisement, ou qu’ils s’accompagnent d’une impression d’étouffer, cela peut indiquer que le système émotionnel est saturé. Le corps reste bloqué dans une boucle de stress et n’arrive plus à retrouver son équilibre.

Dans ces moments-là, un accompagnement peut être précieux. La kinésiologie et l’approche PSYCH-K® aident à libérer les émotions enfouies et à ramener le système nerveux dans une zone de sécurité.
L’approche PSYCH-K® agit également sur les croyances subconscientes qui peuvent entretenir la douleur — comme l’idée qu’on n’a pas le droit d’aller mieux ou que c’est trahir le défunt si l’on retrouve la paix.

Ces méthodes ne visent pas à effacer la peine, mais à redonner de l’espace à la respiration émotionnelle, pour que les larmes cessent d’être un torrent et deviennent un apaisement.

Les étapes du deuil : comprendre ce que l’on traverse

Traverser un deuil, c’est cheminer à travers plusieurs phases psychiques et émotionnelles, souvent décrites par la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross.
Elles ne suivent pas toujours un ordre précis, et il est normal d’en repasser certaines plusieurs fois.

Le déni

Au début, la réalité semble irréelle. On refuse d’y croire, comme si le cerveau “gelait” la souffrance pour nous protéger.

La colère

La colère est souvent dirigée contre la vie, soi-même, les autres, ou même la personne décédée. C’est une façon de faire sortir l’intensité de la douleur.

Le marchandage

“Et si j’avais fait autrement ?” – Ces pensées de “négociation” traduisent un besoin de retrouver du contrôle dans une situation où tout semble perdu.

La tristesse

Vient ensuite une grande fatigue émotionnelle. C’est la phase où le corps relâche, où le vide se fait sentir.

L’acceptation

Elle ne signifie pas “oublier”, mais vivre avec. C’est le moment où la paix commence à revenir, lentement.

Connaître ces étapes permet de déculpabiliser : il n’y a pas de “bonne” manière de vivre son deuil, seulement un rythme propre à chacun.

Quand le deuil devient trop difficile : le deuil pathologique

Parfois, le deuil se fige.
La souffrance ne s’allège pas avec le temps, et la personne reste bloquée dans une ou plusieurs phases.
On parle alors de deuil pathologique.

Les signes d’un deuil pathologique

  • Le chagrin reste aussi intense plusieurs mois après la perte.
  • La personne évite tout ce qui rappelle le défunt ou, au contraire, s’y accroche sans relâche.
  • Des symptômes physiques persistent : insomnies, douleurs, angoisses, crises de panique.
  • La vie semble “arrêtée”.

Ce n’est pas une faiblesse. C’est simplement le signe que le système émotionnel est submergé et qu’un accompagnement est nécessaire.

Se faire aider pour surmonter un deuil : la kinésiologie et PSYCH-K®

La kinésiologie : libérer les blocages émotionnels liés au deuil

La kinésiologie permet d’entrer en dialogue avec le corps grâce au test musculaire, qui révèle les stress et émotions restés bloqués.
Lors d’une séance, le kinésiologue identifie les charges émotionnelles encore actives autour de la perte : culpabilité, colère, tristesse, solitude…
L’objectif n’est pas d’effacer la peine, mais de permettre au corps de retrouver un équilibre émotionnel et d’accepter le processus du deuil sans se sentir submergé.

PSYCH-K® : transformer les croyances liées à la perte

L’approche PSYCH-K® agit sur le subconscient pour transformer les croyances limitantes qui entretiennent la douleur et le sentiment d’impuissance face à la perte.
Certaines pensées profondément ancrées peuvent renforcer la souffrance :

  • “Je ne me remettrai jamais de cette perte.”
  • “Je n’ai plus de raison d’avancer.”
  • “Si je vais mieux, c’est comme si j’oubliais.”

Ces croyances sont naturelles dans le cadre du deuil, mais elles peuvent maintenir un état de tension intérieure. PSYCH-K® aide à les reformuler en messages soutenants, qui favorisent l’apaisement, la résilience et la réouverture à la vie.

Au-delà du travail sur les croyances, PSYCH-K® est également très puissant pour abaisser le niveau de stress associé à une situation ou un souvenir douloureux.
Grâce à des protocoles simples et profonds, la séance permet de rétablir un état d’équilibre entre le corps et l’esprit, de calmer le système nerveux et de ramener la personne dans une sensation de sécurité intérieure.
Beaucoup ressentent après une séance une clarté nouvelle, un apaisement physique ou émotionnel, et la possibilité d’aborder leur deuil avec plus de douceur et de présence à soi.

Comment traverser un deuil avec douceur

S’accorder du temps et de la bienveillance

Le deuil n’a pas de durée précise. La durée du deuil d’un parent, d’un ami, d’un conjoint, dépend de nombreux facteurs : lien affectif, contexte du décès, soutien environnant.
L’important est de s’autoriser à vivre ce que l’on ressent, sans chercher à “aller mieux vite”.

S’écouter

Le corps est souvent un indicateur précieux : fatigue, tensions, insomnie… Ces signaux nous rappellent qu’il a besoin de repos et de douceur.

Se faire accompagner

Quand les émotions débordent, être écouté et soutenu peut faire toute la différence. Les approches comme la kinésiologieet PSYCH-K® offrent un cadre sécurisant pour libérer les émotions, retrouver confiance et apaisement.

Le choc émotionnel après un décès fait partie des expériences humaines les plus bouleversantes. Il est normal de traverser des hauts et des bas, de se sentir perdu, fatigué ou en colère. Ces réactions sont le signe que vous êtes en train de traverser un processus de transformation.

Mais si la souffrance devient trop lourde, ou si le temps ne semble pas l’alléger, il est essentiel de se faire accompagner. La kinésiologie et PSYCH-K® peuvent vous aider à retrouver un équilibre émotionnel, à libérer les blocages profonds, et à cheminer vers une paix intérieure durable.

Vous méritez de vivre votre deuil avec douceur, bienveillance et soutien.

Vous traversez une période de deuil difficile ?
Je vous propose un accompagnement en kinésiologie à Lyon ou en séance PSYCH-K® à distance, pour vous aider à apaiser vos émotions et retrouver un équilibre intérieur.

Découvrez mes accompagnements ici.

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